En quelques clics et gratuitement, vous pouvez vous inscrire pour participer aux jouebs et si vous le souhaitez créer votre joueb.
Alors vous, bloggueurs qui passez par là, écrivez-moi, et racontez moi comment vous avez découvert les blogues, pourquoi vous vous y êtes mis, ce qui vous attire, ce qui vous énerve, comment vous les voyez évoluer, etc... Vous me rendriez un grand grand service...Ecrivez-lui donc.
Commentaires :
Re: Un article (un de plus)
Re: Re: Un article (un de plus)
Donc écris-moi que je t'envoie mes coordonnées téléphonique s et qu'on se prenne rencart.
Aurore
www.unefilleabruxelles.be.tf
aurore_unefilleabruxelles@yahoo.fr
l'article de Metro: premire partie
Souvenez-vous... C'était avant les start-up, leur boom puis, leur crash, avant qu'Internet ne soit inondé par le commerce, les promotions en pop-up et les bannières de pubs. A l'époque, le Web faisait ses premiers pas, et partout on s'enthousiasmait : incarnation d'un rêve de communautés par-delà les frontières et les kilomètres, on parlait alors de lui comme d'un "village planétaire".
L'expression a vite semblé galvaudée, tant Internet est resté dominé par les voyages à bas prix, les vieilles mobylettes vendues aux enchères, les annonces d'investissements et de faillites. Comme si l'on avait oublié que le Web était aussi là pour s'exprimer, découvrir, partager et communiquer. Seulement, depuis quelque mois, le village a sa revanche, sous la forme d'un nouveau concept, simple, enthousias- mant et pluriel : les blogues.
LES BLOGUES (adaptation française de weblog, ou "journal sur le Net") sont en fait vieux comme Internet. Le terme apparaît aux Etats-Unis en 1998, pour décrire des sites mis à jour régulièrement, sur lesquels des fondus de technologie et pros de programmation partagent leurs découvertes, postent des liens vers d'autres pages Web, se lient entre eux... Ils ne sont alors (et ils le resteront pendant quelques années) que quelques dizaines. Tenir à jour un site demande alors des compétences assez poussées, mais ce microphénomène attire déjà quelques passionnés, qui voient là une source d'échange intéressante. Deux dates charnières montreront qu'ils avaient eu raison.
ETAPE 1: les blogues pour tousL'été 1999, d'abord, lorsque Pitas et Blogger apparaissent. Deux outils gratuits, très simples d'utilisation et permettant à l'internaute le plus novice de créer et publier son blogue, sans même connaître une ligne de programmation. En quelques clics, en quelques minutes, il est possible de créer son propre journal, de publier ses réflexions et ses liens au jour le jour. Ces outils semblaient depuis longtemps attendus : rapidement, de quelques dizaines, les blogues passent à plusieurs centaines.
"Blogger et d'autres outils similaires ont encouragé beaucoup de gens à sauter le pas et à publier sur le Net, en solo, pour la première fois", explique Emmanuelle Richard, journaliste française basée à Los Angeles et blogueuse de longue date. "Avec ces kits de publication, plus besoin de potasser HTML, n'importe qui peut créer un site personnel de liens et de com mentaires ! Blogger a démocratisé le Web, a désinhibé les curieux qui n'osaient pas croire que le Web appartient à tout le monde", poursuit-elle. Ils gagnent également en diversité : jusqu'alors réservés aux fondus de technologie, ils prennent soudainement autant de formes qu'il y a de blogueurs. Beaucoup restent fidèles à la formule initiale, postant au jour le jour des liens vers des pages qui leur semblent intéressantes. Mais ces liens se font plus ciblés et plus variés à la fois, en fonction des intérêts initiaux de l'auteur du blogue. Le blogueur sert ainsi de filtre dans ce capharnaüm vivant qu'est le Web : il sélectionne pour ses quelques lecteurs les articles ou les sites qu'il juge éclairants, empile quotidiennement ses découvertes, enrichit ses textes grâce à elles. "Ecrire un blogue, ce n'est pas fournir du `contenu', tâche ardue, qui néces- site du talent et entraîne des responsabilités, mais fournir un filtre à des lecteurs. C'est moins engageant, plus humble qu'un site d'opinion", estime Emmanuel Bizieau, développeur et blogueur.
LE BLOGUEUR est également un guide spontané, un rien anarchiste, entraînant son lecteur vers des lieux dont il ne soupçonnait pas même l'existence. Le blogue devient ainsi l'illustration la plus complète de l'un des axiomes d'Internet : le lien nourrit le lien, et rien n'est tant visité qu'un site qui nous envoie balader ailleurs. Mais au-delà des liens, les blogues sont également devenus, en se popularisant, un outil d'expression, que chacun adapte au quotidien à ses besoins d'auto-fiction, de digressions, de parodies, de confessions, d'autobiographie.
Soudainement, l'intime prend possession des blogues. "N'étant pas un pro de l'HTML et ayant toujours eu envie de m'exprimer sur le Net, les blogues étaient idéaux", explique Alan Smithee. Laurence Bascle, Française bloguant depuis Londres, raconte quant à elle que "l'envie d'écrire a toujours existé. Or, bien que je travaille dans le milieu de la musique digitale, il m'a fallu deux ans pour réaliser que le Web était justement l'occasion unique de toucher directement des milliers de personnes". Les personnalités, les manières de se raconter, sont, ainsi, on ne peut plus variées. Adolescentes exposant leurs émois intimes, amoureux quadragénaire narrant sa tendre histoire au jour le jour, expatrié à Jérusalem décrivant la vie quotidienne au Proche-Orient, autant de témoignages qui correspondent à divers besoins d'expression, sur une quête personnelle, un besoin de se raconter et de s'exposer, de témoigner ou de commenter l'actualité.
ETAPE 2 Les Warblogs A cet égard, la deuxième date charnière dans l'histoire des blogues est
à n'en pas douter le 11 septembre 2001. Dans les heures qui ont suivi les attentats-suicide contre les deux
tours du World Trade Center, les blogues existants ont montré qu'ils étaient une alternative aux médias
traditionnels. Mais le traumatisme collectif né de ces attaques a surtout généré un besoin de s'exprimer
qui a fait des blogues son vecteur favori. Rapidement, des centaines de "warblogs" (blogues de
guerre) ont vu le jour. Certains suivaient la guerre en Afghanistan, commentaient ou critiquaient
les éditoriaux des grands quotidiens, fournissaient des liens vers d'autres points de vue sur les
événements ou de nouvelles informations sur l'enquête. Beaucoup, surtout, profitèrent des blogues
pour raconter leur propre expérience de l'événement, la vie au jour le jour dans un New York
encore choqué. "Le vent a tourné ce matin, il vient de nouveau de Ground Zero vers mon appartement,
et avec lui revient cette odeur terrible", racontait ainsi l'un des warbloggers quelques jours
après les attentats : face à la froide rigueur des articles des journaux et des sujets de télévision,
les warblogs donnaient de la chair à une période déroutante. "Ces blogues thérapeutiques fournissaient des
réflexions, prononcées non pas par les commentateurs habituels (quadragénaires blancs vétérans des
studios télé), mais par des Américains de tous bords : un New-Yorkais qui travaille à Wall Street, une
femme au foyer dans l'Oregon, un flic de Californie marié à une immigrée mexicaine... sans compter les
journalistes qui manquaient d'espace", décrit Emmanuelle Richard. "N'est-ce pas incroyable,
poursuit-elle, de lire dans le journal une info sur les mesures de sécurité dans les avions américains
et de pouvoir immédiatement aller sur le blogue d'une hôtesse de l'air lire ce qu'elle en pense ?"
Les blogues ne sont rien d'autre qu'un simple outil de communication, une technologie souple, qui permet à chacun de faire entendre sa voix sans avoir à maîtriser une technique, sans avoir à passer par les difficiles réseaux habituels, en contournant censures ouvertes ou cachées. Un article récent de la BBC racontait ainsi que des femmes iraniennes profitaient des blogues pour évoquer publiquement des sujets tabous. Un moyen pour elles de pouvoir enfin s'exprimer, un moyen pour leurs lecteurs de découvrir le versant caché d'un pays trop secret. Les blogues permettent d'aller à la rencontre d'individualités inaccessibles autrement. Et avec eux, "de simples mortels technophobes découvrent le plaisir sublime d'être un émetteur autant qu'un récepteur, qu'Internet ce n'est pas la télé ou tout autre média à sens unique, mais un endroit où tout le monde peut être un émetteur", se réjouit un blogueur.
EN FRANCE, les blogues existent aussi depuis quelque temps, même si leur explosion est venue plus tardivement qu'aux Etats-Unis. Mais la plupart des blogueurs français semblent attendre un déclic de plus, que beaucoup ont cru voir venir après le 21 avril, date choc, dont aurait pu émerger le même sursaut "bloguien" qu'après le 11 septembre aux Etats-Unis. Laurence Bascle, choquée depuis Londres des résultats du premier tour de la présidentielle, a lancé son blogue à cette occasion. Mais peu ont suivi : "Les blogues français sont très introvertis, prennent le plus souvent une forme très romantique, proche du journal intime, alors que les Anglo-Saxons sont plus factuels", constate-t-elle. Java, blogueuse en baccalauréat, s'en désole : "A l'origine, les blogueurs avaient une compétence particulière, faire rire, informer... Maintenant c'est tout et n'importe quoi, c'est tellement simple que n'importe quel nabot, moi y compris, peut écrire son bout de vie et croire que ça intéresse les gens. Voilà comment on a perverti une idée géniale et utile". Comme si au final, le blogue était tellement proche de la forme et des idéaux originels d'Internet qu'il se trouve logiquement empêtré, dans les mêmes difficultés, au premier rang desquels la profusion. Les blogues constituent un univers passionnant, mais en pleine expansion, dans lequel il faut savoir faire le tri. L'excitant nouveau village grandit vite, reste à en dessiner les artères et les quartiers.
Textes : Matthieu Sirine
l'article de Metro: deuxieme partie: Tout sur les nouveaux journalistes
Lorsque, le 11 septembre 2001, un premier avion de ligne percute l'une des deux tours du World Trade Center, les sites d'information sont saturés. En France, les sites de Libération, du Monde, de TF1 sont quasi inaccessibles. Aux Etats-Unis, impossible d'obtenir des infos de CNN ou l'ABCNews.
Un autre site, cependant, tourne alors à plein régime, fournit des informations en masse, et n'est pas encore bloqué. Il s'appelle Metafilter, un blogue communautaire sur lequel plusieurs milliers de membres postent quotidiennement des informations et les liens correspondants du monde entier. Ce jour-là, les "posts" se multiplient. Certains blogueursenvoient des liens vers les sites miroirs de CNN, encore accessibles. D'autres postent des photos, capturées sur leur télé ou prises depuis leur fenêtre. L'un s'inquiète pour son père, qui travaille dans la tour. Un autre raconte la scène qu'il voit depuis son bureau, un quatrième transcrit les premiers mots du président Bush.Ce jour-là, Metafilter était la plus efficace et la plus spontanée des rédactions, riche de milliers de correspondants. Les attentats ont par la suite donné naissance à la vague des "warblogs" (voir ci-contre), et des milliers de gens se sont improvisés éditorialistes et dénicheurs d'informations. Ils ont continué des mois après l'attentat. De nombreux blogues sont ainsi devenus de petits journaux indépendants, rassemblant un nombre imposant de visiteurs, et gagnant une réputation qui a fini par stimuler, voire agacer certains journalistes professionnels. Moins d'un an plus tard, les blogueurs ont copieusement grignoté la sphère journalistique. Certains éditorialistes établis s'emportent contre ces journalistes qui n'en sont pas, mettant en question leur légitimité. D'autres rédactions lancent leurs propres blogues, et des écoles de journalismes commencent à inclure des cours consacrés au blogues. A Los Angeles et New York, certains blogues se posent ouvertement en critiques des quotidiens traditionnels. Si bien que l'idée commence à germer de journaux d'un nouveau type, incluant des blogueurs dans leur rédaction : un tel projet serait en cours à Los Angeles.
Re: l'article de Metro: troisieme partie: Une sélection
Impossible de lister ici tous les blogues existants.
En voici néanmoins une petite sélection, pour faire
vos premiers pas dans ce nouveau monde.
Les mythiques
/. (US) : l'un des tous premiers blogues, communautaire, et consacré aux nouvelles technologies. Aujour d'hui encore, il reste l'une des meilleures sources d'informations sur le sujet.
MetaFilter (US) : riche de plusieurs milliers de membres postant quotidiennement une foule d'informations, il
est une véritable mine. Mais il faut également savoir faire le tri...
Niutopia (Fr) : le site à l'origine des "jouebs" (autre adaptation française des weblogs), qui est pour beaucoup dans le développement de ces sites en France.
Les intimes
OrangeKaki (Canada) : "un mystère que des gens apprennent à percer et que j'apprends moi-même à connaître jour après jour grâce à l'écriture". Roxane, 19 ans, se raconte au jour le jour, avec poésie et légèreté.
Air(e) de Java (Fr) : Java a 17 ans. Son blogue est un torrent, impulsif, sur lequel elle travaille ses doutes avec humour et panache.
La Côte
Douarnenez (Fr) : des rêves, des liens, des disques, des his toires, un garçon qui se voit "comme un relais, un petit amplificateur".
Aussi : http://kill.me.sarah.free.fr - http://www.geradon.be -
http://www.climbtothestars.org - http://www.abajourproject.com/
http://konnecticut.free.fr/
Journalistes . liens . opinion
http://www.chryde.net (Fr) : le site du rédacteur de cet article.
http://eparses.blogspot.com (Fr) : le blogue de Pierre Briançon, éditorialiste à Metro, sur lequel il lie chaque jour vers des articles passionnants de la presse internationale.
http://www.amnesix.net/blog/ (Fr) : un Français, parti de Brest à Jérusalem, raconte la vie au quotidien dans cette région troublée.
http://pelican.blogspot.com (Canada) : une foule de liens vers des infos de toutes sortes par un jeune journaliste canadien.
Les outils
http://www.blogger.com et http://www.pitas.com : les deux premiers, les plus célèbres en tout cas. En anglais, ils sont néan moins d'une grande facilité d'utilisation.
http://www.movabletype.org/ : aussi simple que Blogger, en anglais également, il consiste en un petit logiciel à télécharger.
http://www.joueb.com/niutopia : pour créer son joueb, tout en français.
Encore une fois
© Chryde
et Metro
je ne suis pas que jouebeur j'ai un grand besoin d'espace de liberté
C'est pas nouveau mais c'est écoeurant donc j'ai besoin d'espaces de liberté et sa marche.
Serge Liberman
21 rue de Bièvre
75005 Paris
Tél: 01 44 07 07 86
fax 01 56 24 40 08
serge.liberman@free.fr
www.osteopathie-france.net/Therapeutique.migraine.htm
Merci de votre aide
serge
Re: je ne suis pas que jouebeur j'ai un grand besoin d'espace de liberté
Quand aux laboratoires pharmaceutiques, ils ne sont pas en mesure de bloquer quoi que ce soit, par définition et certainement pas l'irruption d'une véritable innovation thérapeutique. Ensuite, dire "les laboratoires pharmaceutiques" c'est un peu comme dire "les Français" ou bien "les américains" ou bien "les entreprises". Le constat est la diversité, et une diversité plutôt croissante.
Il n'y en a pas un de pareil. Quels sont les points communs entre des laboratoires pharmaceutiques en Inde et dans le Grand Duché de Luxembourg ou bien les laboratoires Finlandais ou Japonais ? Je me souviens avoir visté des laboratoires au Japon dans les années 1986 où le Directeur de la Recherche était un Indien qui maniait à la perfection 7 ou 8 langues. Le laboratoire était un fournisseur de l'Institut Pasteur et son innovation que je ne pourrais plus décrire faisait chuter les coûts d'un process par un facteur de un à 10.
Un détail amusant : le Japon est un pays connu pour faire des horaires de travail longs; et bien là il y avait un accord du temps de travail très innovant où les journées de travail étaient particulièrement longues mais on travaillait moins d'un jour sur 2.
Déjà, à cette époque, on pouvait constater que l'innovation se jouait au niveau mondial et pas à des endroits attendus.
Re: Re: je ne suis pas que jouebeur j'ai un grand besoin d'espace de liberté
ailleurs c'est plus calmewww.osteopathie-france.net/Therapeutique/migraine.htmLes labos ne peuvent pas bloquer une innovation thérapeutique,tu parles d'un domaine que tu connais mal.Je résume la migraine post traumatique d'origine cervicale est causé par un choc physique sur le cou qui entraîne des dilatations d'artères sous la peau du crâne.Les labos se contentent de donner des vaso constricteurs à tous comme si cette maladie était toujours vasculaire.Elle est vasculaire,oui,et aussi traumatique,ces dernières ne répondent pas aux médicaments vaso constricteurs et pourtant les labos en cheville avec les neurologues de hauts niveaux dans cette spécialité ont tous décidés de n'en point parler tout en laissant filtrer
un tout petit bout de cette information pour pouvoir se justifier.La raison invoquée est la prudence scientifique et
le manque de recherches randomisées qu'ils verrouillent dans les centres hospitaliers.
vous évoquiez l'arrêt père noël.c'est de tout cela que crêve
l'occident.A suivre.Je dois aller soigner une migraineuse de guyane.serge
Re: Re: je ne suis pas que jouebeur j'ai un grand besoin d'espace de liberté
ailleurs c'est plus calmewww.osteopathie-france.net/Therapeutique/migraine.htmLes labos ne peuvent pas bloquer une innovation thérapeutique,tu parles d'un domaine que tu connais mal.Je résume la migraine post traumatique d'origine cervicale est causé par un choc physique sur le cou qui entraîne des dilatations d'artères sous la peau du crâne.Les labos se contentent de donner des vaso constricteurs à tous comme si cette maladie était toujours vasculaire.Elle est vasculaire,oui,et aussi traumatique,ces dernières ne répondent pas aux médicaments vaso constricteurs et pourtant les labos en cheville avec les neurologues de hauts niveaux dans cette spécialité ont tous décidés de n'en point parler tout en laissant filtrer
un tout petit bout de cette information pour pouvoir se justifier.La raison invoquée est la prudence scientifique et
le manque de recherches randomisées qu'ils verrouillent dans les centres hospitaliers.
vous évoquiez l'arrêt père noël.c'est de tout cela que crêve
l'occident.A suivre.Je dois aller soigner une migraineuse de guyane.serge
Re: Re: Re: je ne suis pas que jouebeur...
ouvre un joueb a toi plutot que de taper l'incrust dans des commentaires.
Tu auras plus de chance d'etre lu
Et si je peux me permettre un conseil sur le style,
limite le couplet sur la parano, cela restreint l'audience
Re: Re: Re: Re: je ne suis pas que jouebeur...
Re: je ne suis pas que jouebeur j'ai un grand besoin d'espace de liberté
mais je vois qu'il la fait disparaître.Blogue ou pas blogue je crois bien que je ne me ferai jamais à toutes ces légèreté avec la liberté d'expression.Bon ce que je demande au webmaster c'est d'éffacer ce texte après lecture.Comme il me l'a été suggéré très gentillement je désire ouvrir un
interface avec le titre" Si le traitement de la MIGRAINE existait,ça se saurait" et aussi"MIGRAINES,MIGRAINE quand tu nous tient" j'ai déjà déposé le premier titre mais j'ai un problème avec les technologies modernes,même avec mon réveil matin pour son réglage.C'est simple y aura-t-il une âme charitable pour entamer une aventure humaine de grande envergure?Je ne suis pas mytho,y-a-t-il un HOMME dans le PAF? serge.liberman@free.fr voudraient-on me laisser mon adresse lisible et diffusée www.osteopathe-france.net/Therapeutique/migraine.htm contactez jean louis Boutin webmaster de ce site très professionnel.A bientôt.serge
Lien croisé
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réponse
Lien croisé
Une Année Florissan : "Chryde sera peut-être (;-)) parmis nous pour parler de son article publié dans Métro en juillet 2002 ? En attendant un lien, une copie est disponible sur les jouebs..."
Gnaf
Un article (un de plus)
Donc l'idée, c'est qu'on raconte et que lui compile, vend et ramasse ?
Bah, de toute façon, un livre sur les jouebs, çà n'intéresse personne et ne rapportera sûrement pas tant que ça ;-)